MOÏSE KISLING 1891-1953
Jonquilles, 1944
Huile sur toile
56 x 38,5 cm
82 x 62,5 cm (avec cadre)
82 x 62,5 cm (avec cadre)
Certificate of authenticity issued by Mr. Marc Ottavi, dated July 19, 2024. This work will be included in Volume IV and Additives to Tomes I, II and III of the Catalogue Raisonné of Moïse Kisling's work currently being prepared by Mr. Marc Ottavi.
Signé et dédicacé en bas à gauche : Kisling ; à André Bernheim
Situé et daté en bas à droite : New York ; 1944
Situé et daté en bas à droite : New York ; 1944
Peinte en 1944 par Moïse Kisling, cette œuvre capte instantanément l'attention grâce à l'intensité de ses couleurs. Présentant un vase de jonquilles jaunes sur un fond rouge profond, cette nature...
Peinte en 1944 par Moïse Kisling, cette œuvre capte instantanément l'attention grâce à l'intensité de ses couleurs. Présentant un vase de jonquilles jaunes sur un fond rouge profond, cette nature morte reflète à merveille le style expressif de Kisling, où la simplicité du sujet se trouve magnifiée par une exécution empreinte d'une grande force émotionnelle.
Les jonquilles, aux pétales larges et éclatants, semblent jaillir du tableau avec une force presque sculpturale. Leur jaune vif se détache nettement du fond rouge, créant un contraste saisissant. Les tiges vertes, épaisses et bien définies, ajoutent à la composition un équilibre visuel, tout en renforçant l'effet de vie et de fraîcheur des fleurs. Kisling joue sur une palette limitée mais saturée, faisant ressortir chaque élément avec intensité.
Peint en 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, ce tableau peut être vu comme un symbole de résilience et d'espoir. Dans un monde en plein chaos, l'artiste choisit de représenter des fleurs, symboles universels de renouveau et de beauté, comme une manière d’affirmer la vie et l’espoir. La lumière qui émane des jonquilles contraste avec l’ombre qui plane sur l’arrière-plan, ajoutant une dimension presque symbolique à l’œuvre.
La technique de Kisling, avec ses coups de pinceau à la fois précis et dynamiques, donne aux fleurs une texture presque palpable. Cette nature morte, au-delà de sa beauté formelle, exprime une énergie vitale, un élan vers la vie en dépit des circonstances difficiles de l'époque où elle a été créée.
Les jonquilles, aux pétales larges et éclatants, semblent jaillir du tableau avec une force presque sculpturale. Leur jaune vif se détache nettement du fond rouge, créant un contraste saisissant. Les tiges vertes, épaisses et bien définies, ajoutent à la composition un équilibre visuel, tout en renforçant l'effet de vie et de fraîcheur des fleurs. Kisling joue sur une palette limitée mais saturée, faisant ressortir chaque élément avec intensité.
Peint en 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, ce tableau peut être vu comme un symbole de résilience et d'espoir. Dans un monde en plein chaos, l'artiste choisit de représenter des fleurs, symboles universels de renouveau et de beauté, comme une manière d’affirmer la vie et l’espoir. La lumière qui émane des jonquilles contraste avec l’ombre qui plane sur l’arrière-plan, ajoutant une dimension presque symbolique à l’œuvre.
La technique de Kisling, avec ses coups de pinceau à la fois précis et dynamiques, donne aux fleurs une texture presque palpable. Cette nature morte, au-delà de sa beauté formelle, exprime une énergie vitale, un élan vers la vie en dépit des circonstances difficiles de l'époque où elle a été créée.
Provenance
André Bernheim, Paris.Collection privée.
Publications
Jean Kisling et Henri Troyat, Kisling, Tome II, Turin, Édité par Jean Kisling, 1982, p. 221, sous le n° 123.4
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